« La vraie question est de savoir ce que l’on veut faire du site de la Rhune.
C’est bien l’identité patrimoniale et touristique qui fait l’attractivité du site. Son authenticité doit être préservée. Le petit train ne doit pas devenir un tra m-bus ».
Chantal Kehrig, conseillère départementale d’Hendaye côte Basque sud.
« La Rhune appartient à tout le monde. On ne peut que souscrire aux nécessités de réhabiliter le train, de rendre le site accessibles aux personnes à mobilité réduite et de sécuriser le stationnement.
Le reste nécessite une concertation, avec les maires des communes concernées (Ascain, Sare, Urrugne), mais aussi avec Vera de Bidasoa et la Navarre.
On ne peut porter un projet sans qu’il soit partagé. Nous avons un a priori très défavorable sur la méthode employée. »
Kotte Ecenarro, conseiller départemental d’Hendaye côte Basque sud.